Pôle Nord-Est : Alsace, Lorraine et les régions voisines des pays limitrophes

La Manufacture - Pôle Nord-Est

La Manufacture - Pôle Nord-Est
104, rue de Saint Georges
57 720 SCHWEYEN

Tél. : +33 3 87 96 58 04
(dans la soirée)

florence.soriano.gafiuk@gmail.com

Ses convictions

Xavier Bertrand : « Je ne veux pas d’une droite dure avec les faibles ! »

Xavier Bertrand s’est engagé auprès des jeunes RPR dès l’âge de 16 ans. Il rencontrera pour la première fois Philippe Seguin à l’âge de 27 ans à Saint-Quentin, lors de la campagne du référendum pour Maastricht. En 2010, à l’annonce de la mort de ce dernier, Xavier Bertrand dira : « C’est un choc, je l’appréciais beaucoup (..). C'était (..) un gaulliste social qui croyait que l'économie et le social devaient marcher ensemble. Il était profondément républicain. »

De 1998 à 2012, Xavier Bertrand connaîtra une ascension fulgurante (voir la rubrique « Son parcours »).

Xavier Bertrand : « Il y a d’abord les municipales, les régionales, les sénatoriales, les européennes. J’ai de l’ambition, mais je joue collectif »

En 2012, Xavier Bertrand sera, avec François Fillon et Jean-François Copé, le seul à avoir réussi à rassembler les 7 924 parrainages nécessaires à sa candidature à la Présidence de l’UMP. Il ne se lancera pourtant pas dans cette campagne électorale, expliquant à ses sympathisants : « Par nature je suis quelqu’un de rassembleur. Si je ne me suis pas présenté en novembre pour la présidence de l’UMP, c’est que je sentais qu’il y allait avoir des divisions et je ne voulais pas en rajouter ». Il annoncera dans la foulée sa candidature « coûte que coûte » aux primaires de 2016, en vue de devenir Président de la République en 2017.

Xavier Bertrand : « Je souhaite redonner à l’UMP son adjectif de « populaire ». Ce sont probablement mes racines de gaullisme social qui parlent ! »


Même si Xavier Bertrand est né du terreau du gaullisme social, il est porteur d’une politique qui lui est propre et à laquelle il souhaite donner vie grâce à son association « La Manufacture ».

Xavier Bertrand : « Etre populaire c'est respecter le peuple : l'ouvrier comme le chef d'entreprise qui réussit. Il ne faut pas opposer la réussite à la solidarité. »